Il vient du Soudan ou d’Erythrée, a fui la guerre, est parfois passé par la Lybie où il n’a pas échappé aux violences. Il rêvait d’un monde de paix. Pour affronter la peur et le découragement, on lui a présenté des analgésiques aux opioïdes, dont le tramadol. Des médicaments qui lui ont permis de résister aux douleurs physiques et au stress. De tenir le coup. Après plusieurs mois, il en est devenu très dépendant. En situation de manque, il souffrait de fièvre, de maux de têtes, de nausées et de crises de panique.
Les organisations en charge du programme Mobivax ont décidé de reprendre dès ce vendredi la campagne de vaccination à destination des personnes sans abri, des personnes sans papiers et des personnes migrantes en région bruxelloise.
Les équipes de Médecins du Monde actives dans les Territoires palestiniens occupés saluent l’annonce du cessez-le-feu mettant fin à la récente escalade de violence à Gaza, tout en mettant en garde contre une aggravation de la crise humanitaire qui doit être immédiatement prise en compte. En effet, même avant cette récente agression, les Palestiniens et Palestiniennes vivant dans de la bande de Gaza n’avaient qu’entre 4 et 8 heures d’électricité par jour, 96 % de leur eau était impropre à la consommation et il leur était presque totalement interdit de circuler librement.
Après 11 jours d’attaques d’une violence inouïe, Israël et la Palestine se sont mis d’accord sur un cessez-le-feu. Une interruption des hostilités qui ne s’accompagne pas pour autant d’un retour de la sécurité ou d’une quelconque stabilité...
Bravo aux 98 participant.e.s qui, ensemble, ont récolté 10.886 stéthoscopes et 3.565€ pour les projets de Médecins du Monde !
Pendant une semaine, une équipe de Médecins du Monde a apporté un soutien psychologique aux victimes qui ont fui l’éruption volcanique de Nyiragongo, le 22 mai dernier et les tremblements de terre qui l’ont accompagnée. Les sinistrés et sinistrées de Goma connaissent en effet des épisodes d’anxiété, des sautes d’humeur, des troubles de l’attention et même des flash-backs.
Un an et demi après le début de la pandémie de Coronavirus, de nombreuses personnes sans-abri souffrent encore de l’impact de cette maladie dans notre pays. Le centre d’hébergement médicalisé d’Anvers s’est imposé comme un véritable refuge pour cette population vulnérable. Textes et photos : Marie Monsieur
La situation d'insécurité a atteint des niveaux si alarmants à Port-au-Prince, la capitale, que les personnes ayant besoin de soins médicaux refusent de quitter leur domicile pour les obtenir par peur d'être agressées. Le manque d'approvisionnement en oxygène dû aux barrages routiers rend impossible le traitement des maladies respiratoires, comme celles dérivées du covid-19, dans un pays où aucun vaccin n'a été injecté C'est l'une des crises humanitaires oubliées les plus sanglantes au monde, face au scandaleux manque de réaction internationale
L'état des 430 personnes sans-papiers a atteint un stade critique après une grève de la faim de 30 jours : « Nous sommes au moment charnière où le corps passe de la consommation de graisses à des protéines. Concrètement, cela signifie que les organes peuvent subir des dommages (irréparables) à partir de ce moment”, dit le Dr. Rita Vanobberghen, l'une des médecins bénévoles sur place. Dans le même temps, Médecins du Monde et les autres organisations sur place demandent davantage de capacités médicales : « Nos équipes manquent de personnel pour assurer un suivi adéquat de cette urgence médicale
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